Teagan A. Campbell
Informations
Salut à toi, je m'appelle Teagan Artemis Campbell mais tout le monde me surnomme Doc ou Arty et je suis né(e) le 17 juin 1987, à Castletown sur l'île de Man. Si tu sais compter j'ai donc 33 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que Docteur à Poudlard. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis asexuel (pas assez de temps et trop timide) et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis sang-mêlé (ma mère est sang-pur, mon père est un moldu).
Ton Epouvantard c'est ? le vide
Le miroir du Rised, il te monte quoi ? moi, heureux
Ton patronus c'est ?un écureuil
Et ta baguette, elle est comment ? 33 centimètres en bois de Saule et Crin de Licorne, une baguette qui est souple
Caractère
Parler de mon caractère... Est-ce que parler d'un courant d'air serait nécessaire ? Je suis quelqu'un d'extrêmement discret, je ne suis pas du genre à aimer faire parler de moi. En fait, je suis presque d'une timidité maladive. Très maladroit en société. En société uniquement, car mon travail – médecin – ne tolère aucune maladresse. Autant quand il s'agit de mon travail je n'ai aucun problème à parler, mais tenir une conversation normale... Une horreur. Je bégaie, je bafouille et je termine par me taire en rougissant. Je ne suis pas le genre de gars qui transpire l'assurance, vous l'aurez deviné. D'ailleurs, je suis aussi introverti et réservé, pour compléter un combo déjà bien fourni. Je déteste être au centre de l'attention et je parle très rarement de mes problèmes où autre.
Par ailleurs, je suis aussi un bosseur acharné. Passer des nuits blanches à potasser mes leçons. Même une fois les cours terminés. Mais j'aime aussi me relaxer. La musique par dessus tout. Je joue de la guitare dès que j'ai du temps libre. Il n'y a qu'avec la musique que je ne me sens pas timide. Mais comme essentiellement mon public est composé de bocaux vides et de bouteilles d'elixir,... Je n'ai pas vraiment de quoi perdre la voix.
Une chose que je tiens de mon père (en plus du côté légèrement rouquin), c'est son amour de la cuisine. Si a Poudlard on peut avoir ce que l'on souhaite à manger de tout prêt, directement venu des cuisines, je préfère encore cuisiner moi-même. Croyez-le ou non, ça demande de la concentration et de la précision (dixit le mec qui a failli s'empoisonner à une ou deux reprises).
J'ai toujours pensé aux autres avant moi, ce qui m'a sans doute grandement aidé dans mon choix de carrière. Je suis aussi quelqu'un de très patient – vous n'imaginez pas combien il faut attendre des fois avant qu'un malade ne finisse par avouer ce qui ne va pas (ou ce qui l'a amené dans cette situation). Je n'ai qu'une parole. Une fois qu'on gagne ma confiance et mon amitié, c'est pour longtemps. Sauf que c'est à double tranchant. Quand on perd ma confiance, c'est aussi pour longtemps. Je laisse rarement des secondes chances.
Toujours dans ce même sens, je suis quelqu'un pour qui la famille est une chose très importante. Je serai prêt à tout pour ma famille. Même si clairement, je ne suis pas le plus costaud des gars. Ni le plus courageux. Sans pour autant être un lâche... Je crois.
Biographie
Je suis né en 1987 comme pas mal d'autres personnes... Ce qui veut dire que je suis totalement insignifiant, j'imagine. Je n'ai pas grand chose de spécial. Je n'ai pas accompli de grandes choses non plus... Je suis le second de deux enfants, mais honnêtement, avec douze ans de différences, les rapports sont assez … compliquées. Ma mère était une sorcière, une sang-pur de la famille Peverell. Mon père lui était un moldu tout ce qu'il y a de plus banal. Un cuisinier qui pensait qu'un bon repas pouvait résoudre environ la moitié des problèmes qu'on pouvait rencontrer. Il n'avait pas forcément tort.
J'ai grandi en sachant que la magie existait. Ma mère l'utilisait assez souvent à la maison pour se faciliter la vie – et sans doute éviter au petit Teagan de trop foncer dans les meubles. Et ma grande sœur Morrigan étudiait déjà à Poudlard. Je ne me souviens pas de grand chose de ma petite enfance, si ce n'est que dès que Morri était à la maison, j'étais toujours dans ses pattes, à lui demander des câlins ou des histoires. Je ne la voyais que pour les vacances, alors je voulais toujours en profiter.
A l'école, j'étais plutôt solitaire, je n'arrivais jamais vraiment à me faire des amis, j'étais bien trop timide, à la limite de la panique quand je devais prendre la parole devant tout le monde. En fait, je détestais être le centre de l'attention. Je préférais largement faire partie de la décoration. J'étais en gros un gamin très loin d'attirer l'attention des professeurs... tant et si bien que je me retrouvais même une fois enfermé dans une salle de classe à la pause du goûter. Des choses comme ça il m'en arriva plusieurs. Au niveau des résultats, du moment qu'il ne s'agissait pas d'un examen oral, j'avais de bons résultats. Très bons même. Après tout, les livres ne mordent pas (enfin, la plupart des livres). Je n'ai jamais eu une énorme confiance en moi, mais je pense que le fait d'être le petit dernier surprotégé par ma mère n'aidait pas. Bon j'étais le petit dernier maladroit de la famille. Il fallait toujours un peu me garder à l'oeil. Mais c'était surtout parce que je ne faisais pas vraiment attention à ce qui m'entourait. Notamment quand je me baladais en lisant. En fait, j'étais le genre de gamin qui faisait toujours ses devoirs sans qu'on ait à lui demander. Puis quand j'avais fini, j'allais trainer dans les pattes de mon père : je m'asseyais dans un coin de sa cuisine et je le regardais travailler.
Je n'ai jamais compris la tendance des gens à se faciliter la vie avec la magie. Je trouvais ça bien plus impressionnant de voir mon père transformer des aliments crus et « informes » en plats délicieux. Je pouvais rester à l'observer pendant des heures, à mémoriser ses gestes. J'aimais bien le voir faire. Très vite, il commença à m'apprendre à préparer des plats simples, voulant voir si à force de le regarder faire, j'avais fini par apprendre quelque chose... Naturellement, dès que Morri rentrait, je préparais toujours des petits gateaux pour avoir son verdict... Et elle en profitait parfois pour me taquiner.
Contrairement à ma sœur, mes pouvoirs de sorciers ont mis du temps à apparaître. En fait, il n'y eut quasiment aucune trace de magie jusqu'à mes neuf ans. Ça désespérait plus ma mère que moi, d'ailleurs. Mon père s'en moquait un peu, pour ne pas dire complètement. La magie pour lui ne représentait pas plus qu'être blond ou roux. Puis, un beau jour, ils finirent par apparaître. Comme souvent, je traversais la maison en lisant un livre et comme toujours, je ne faisais pas vraiment attention à où j'allais. Sauf que pour une fois, le mur se trouva être étonnamment flexible... Presque moelleux. Je venais de faire mon premier « tour de magie ». Ce qui soulagea intensément ma mère. Quand à mon père, je pense qu'il fut un peu déçu au départ, mais il s'en accommoda très vite, d'autant plus que je ne cessais pas pour autant d'aller l'observer ou l'aider en cuisine. Cuisine qui était sans doute l'endroit où je me sentais le plus en sécurité, malgré toute l'agitation qui y régnait, et tous les objets potentiellement dangereux qui s'y trouvaient.
Ce fut bien évidemment ma mère qui m'accompagna sur le Chemin de Traverse, mon père étant un Moldu et ma grande sœur étant trop occupée par sa formation d'Auror – ce qui faisait que nous la voyions encore moins souvent si c'était possible. Je garde seulement un souvenir flou de mes achats pour Poudlard, juste le sentiment d'être minuscule et insignifiant – le même que j'aurais, plus tard, en arrivant à Poudlard. Je n'y étais pas allé très souvent. Mais dans le contexte de l'époque, il y avait un aspect un peu oppressant aux lieux. On ne flanait pas dans les rues. On évitait d'y rester trop longtemps même. D'ailleurs, je pense que c'est ma mère qui m'a transmis son côté un peu angoissé dont j'ai encore du mal à me défaire.
Bien avant la rentrée officielle, j'avais commencé à apprendre tout ce que je pouvais, une vraie crise de boulimie à propos de la connaissance. J'avais réussi à mémoriser quelques sortilèges et même une ou deux recettes de potions. J'avais fait ça pour m'occuper et parce que j'avais un peu peur à l'idée de m'éloigner totalement de chez moi. Ce serait bien la première fois que je partais aussi loin de ma famille. Dans le train, je m'installais à la première place libre que je trouvais après avoir dit au revoir à mes parents. Je détonnais légèrement des autres élèves qui étaient somme toutes assez pressés de se retrouver à Poudlard.
Le château. J'avais beau l'avoir déjà vu en image, il était bien plus impressionnant en vrai. Ecrasant, même. L'ambiance n'était pas terrible et dès le départ, je crois que j'aurais largement préféré disparaître dans un trou de souris. Sans grande surprise pour ma part, je fus envoyé à Pouffsouffle. La situation empirait de jour en jour , au fur et à mesure que Voldemort assurait son emprise renouvelée. Et quand en avril, la situation commença à devenir vraiment « intenable », alors que j'étais rentré pour les vacances – le moindre répit étant bon à prendre – ma mère refusa que je retourne à Poudlard. Vous l'avez bien deviné, je ne participais donc pas à la bataille de Poudlard. Comme une partie des élèves pourrai-je dire pour me dédouaner. Mais j'étais jeune, influençable, mort de trouille... Et de toute façon, je n'avais jamais été le genre à tenir tête à mes parents.
J'ai ensuite repris ma scolarité. Comme je ne m'étais pas battu, je me fis encore plus discret et je passais mon temps libre dans la Bibliothèque, à travailler. Je devins vite un très bon élève, malgré mes prises de paroles catastrophiques, mais je commençais surtout à m'intéresser à tout l'aspect médical de la magie. Devenir médicomage, ça me plaisait bien comme idée. Mes parents ne voudraient sans doute pas que j'ai un métier qui n'exploite pas le potentiel de mon intelligence et clairement, je n'avais pas l'étoffe d'un Auror. Encore moins d'un professeur.
Une chance pour moi, les dortoirs de la maison Pouffsouffle étaient situés dans les sous-sols de l'école. Ce qui me convenait parfaitement étant donné que j'y passais une bonne partie de mon temps. J'avais une peur bleue du vide depuis tout gamin, depuis une virée au Canary Wharf (le One Canada Square de son vrai nom) qui avait failli mal tourner à l'époque. Depuis, je n'avais jamais osé m'approcher trop près du bord. Je ne vous parle même pas de mes ridicules tentatives pour tenter de voler sur un balai...
A l'approche de la fin de mes études à Poudlard, je choisis de m'orienter vers la médecine, version magique, évidemment. Je pense qu'on peut dire que j'étais brillant, mais c'était surtout parce que je pouvais passer des nuits blanches à bosser. Mais les efforts finissent toujours par payer. Je réussis à entrer à Sainte Mangouste – du côté des soignants, évidemment. C'était un travail éreintant mais très instructif. Je ne m'en sortais pas trop mal avec les patients, du moment que la conversation restait strictement professionnelle. Je devais leur paraître bien étrange, mais ce n'était pas un drame. Donc un jeune et brillant docteur... Comment se retrouve-t-il catapulté à l'infirmerie d'une école, tout aussi prestigieuse qu'elle soit ? Les moldus appellent ça un burn-out. J'ai trop tiré sur la corde et ça n'a plus été possible pour moi de retourner à Sainte Mangouste. On m'a offert le poste de médecin / infirmier à Poudlard et malgré les souvenirs mitigés de mes études, j'ai accepté, pressentant qu'un cadre familier ne pourrait qu'être bénéfique.
De l'autre coté de l'écran
♪ Pseudo/prénomJazz / Morrigan / Rookie
♪ âge 22 ans
♪ Présence 7/7 (sachant que je suis en alternance et que j'ai pas toujours mon pc le week end, je passe au moins pour lire les RP , mais je ne réponds pas forcément dans la minute)
♪ tu nous as trouvés comment ? C'est Gaby qui m'a poussé au vice et qui m'a encore rendu plus schizo que ce que je ne suis déjà.
♪ Une dose d'amour ? Je préfèrerais une dose de caféine, mais je ferais avec les moyens du bord ! ♥♥♥
©louha