Wyatt Henry Coleman
Informations
Salut à toi, je m'appelle Wyatt Henry Coleman mais tout le monde me surnomme Wyatt et je suis né(e) le 18 février 2003 , à ville en région. Si tu sais compter j'ai donc 17 ans. Aujourd'hui, je suis en 7ème année à Serpentard. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis hétérosexuel et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis né moldu.
Ton Epouvantar c'est ? Son père en train de montrer à tout Poudlard qu'il a abandonné sa baguette pour se consacrer aux insectes.
Le miroir du Rised, il te monte quoi ? La réussite et rien que la réussite, bien que depuis quelques mois, il se retrouve entouré de ses amis qui réussisent avec lui.
Ton patronus c'est ? Un renard
Et ta baguette, elle est comment ? Ventricule de dragon, bois de sycomore, 29, 7 cm. Rigide mais facilement maniable, elle a été facile à dompter et lui obéit aujourd'hui au doigt et à l'oeil et ne lui fait jamais défaut.
Caractère
Tout était tellement magnifique ici. Tout était… magique. Rien à voir avec la simplicité de la maison dans laquelle il avait grandit. Des bougies flottaient dans la salle. Les élèves portaient tous des robes de sorciers. Comment imaginer avoir un jour honte de ses origines sorcières ? Comment imaginer oublier un jour comment utiliser une baguette ? En cet instant précis, Wyatt n'avait qu'une pensée, de la honte et encore de la honte pour son propre père. Jamais au grand jamais il ne finirait comme lui. A partir de maintenant, il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour se montrer digne de ses pouvoir. Alors, c'est la tête haute et le regard arrogant qu'il s'assit sur le tabouret pour qu'on lui pose le choixpeau sur la tête. Il n'était encore qu'une enfant et pourtant, le choixpeau eut déjà du mal à définir sa personnalité…
« Tiens tien, intéressant… Un jeune homme déjà plein de courage et d'ambition. Tu es curieux et la loyauté règne également dans ton coeur. Elle te servira pour plus tard. Ton âme est divisée en tant de parties que toutes les maisons te conviendraient. Gryffondor t'apporterait ce qu'il faut pour développer encore plus ton courage et aller plus loin dans tes capacités. Poufsouffle te permettrait d'agrandir ta générosité et ta grandeur d'âme. Serdaigle t'encouragerait dans ta curiosité et ton besoin d'apprendre. Hmmm… C'est très difficile. Cependant, ton coeur reste trop noir pur toutes ses maisons. Ton arrogance ne t'aiderait en rien chez les Poufsouffle. Et en même temps, ton ambition pourrait te pousser vers la voie de la grandeur. Tu ne recules devant rien et je pense que Serpentard pourrait t'aider plus que les autres à trouver ta place dans ce monde. Ton air moqueur et ton besoin de te faire remarqué, de diriger, y seront accueillis comme il se doit. Oui c'est cela, je pense que les verts et argents sont ceux qui pourraient le mieux t'aider dans ton projet. Tu iras loin cela ne fait aucun doute et ce sont les SERPENTARD qui t'y aideront. »
Un instant plus tard, le jeune garçon s'assit donc en compagnie des autres membres de sa nouvelle maison. Le choix du choixpeau était judicieux. Cela se révéla encore plus dans les années qui suivirent. Toujours le sourire moqueur aux lèvres, rien n'empêchait jamais Wyatt de se moquer des plus faibles que lui. Il avait toujours estimé qu'on ne pouvait avoir ce qu'on voulait que grâce à soi même. Il n'avait personne à remercier pour ce qu'il devenait et il ne remerciait personne. Pour lui, si les gens étaient stupides ce n'était que de leur faute, ils n'avaient qu'à s'instruire un peu plus. Arrogant, calculateur et manipulateur, il obtenait toujours ce qu'il voulait, quand il voulait. Buté, il estimait qu'il avait toujours raison. Cependant, il s'acharnait à écouter quand même les points de vue des autres, quand ceux-ci en valaient la peine. Face à une personne qu'il ne connaît pas, il se montre froid et arrogant, plus que moqueur, il rabaisse tout le monde. Mais en compagnie de ses mais, les seuls vraies personnes qu'il respectent car ils méritent son intérêt, il se montre amusant et protecteur. Son esprit de meneur le pousse à être responsable quand il le faut mais également à se disputer avec ses amis parfois, lorsque les forts caractères se rencontrent. Même si pour eux, et uniquement pur eux, il serait prêt à tout.
Biographie
Henry Coleman était le genre d'étudiant beaucoup trop optimiste. Le genre de jeune homme à fermer les yeux sur les difficultés de la vie et à ne regarder que les bonnes choses. Mais si, vous savez, les gens qui détournent le regard de leur voisin qui bat ses gosses, pour partir ensuite distribuer des repas aux enfants venant aux Restos du Coeur. Il préférait constamment se dire qu'un jour ou l'autre, tout irait mieux. Il faut dire qu'avoir une maman moldue n'avait pas vraiment aider à se plonger complètement dans le monde des sorciers. Malgré ses sept ans passés à Poudlard, il s'était toujours contenté de vivre plutôt de son côté moldu que sorcier. C'est pourquoi il s'était arrangé pour valider un baccalauréat afin de pouvoir entrer à fac. Ouais, les études d'entomologie ça l'intéressait sincèrement plus que tout ce qui pouvait toucher à la magie. Et puis, parfois, quand il était seul le soir, il s'avouait que c'était plus simple de vivre en tant que moldu tout en ayant des pouvoirs. Ca facilitait les choses. Il préférait dire aux gens que c'était pour faire le bien autour de lui autant qu'il le pouvait, mais dans le fond, c'était surtout lui qu'il aidait. Alors, il s'était souvent contenté de fermer les yeux sur ce qui se passait dans le monde des sorciers. Pourtant, il ne put fermer les yeux quand, un an après qu'il ait quitté Poudlard, le château fut assailli par les mangemorts. Il revint alors dans son ancienne école pour prêter main forte et aider les gens comme il le pouvait. La guerre fut la pire chose qu'il vécut. Il eut du mal à surmonter les morts, à surmonter cette souffrance et ce désespoir. C'est à la fin de sa licence de biologie qu'il retrouva la jeune Alice. Petite, mince, toujours le sourire aux lèvres, Henry l'avait connu pendant ses années à Poudlard. Alors que lui avait fréquenté la maison Serdaigle, la belle demoiselle avait été à Poufsouffle. Ils n'avaient pas plus fait attention l'un à l'autre que ça à l'époque. Mais ce jour-là, alors qu'elle portait une petite robe rouge et semblait perdue au milieu de la foule, il avait craqué, se souvenant aussi du courage dont elle avait fait preuve lors de la grande bataille. L'amour les avait parcouru. Peut être qu'aujourd'hui ce n'était plus le cas, balancés l'un et l'autre par leur quotidien. Deux ans plus tard, il la demandait en mariage et quelques mois après, elle tombait enceinte.
Une mère de sang-pur, un père de sang-mêlé, une maison en plein centre de Londres, voilà le petit Wyatt qui vint au monde. Nous pourrions insister sur son enfance mais à quoi bon ? Il n'avait pas encore dix ans qu'il se rendit rapidement compte que sa mère n'était qu'une femme soumise qui acquiesçait à la moindre affirmation de son mari. Elle n'était pas stupide mais elle était peut-être un peu trop naïve pour se rendre compte que l'homme qu'elle aimait n'était pas parfait. Quand à celui-ci, il passait son temps à parler des quelques heures de bravoure dont il avait fait partie dans toute sa vie. Il passait sa vie à raconter à qui voulait l'entendre qu'il s'était précipité sur les élèves de Poudlard pour les soigner, pour les défendre contre les mangemorts qui envahissait le château. Alice buvait encore ses paroles, tant d'années plus tard. Mais Wyatt s'en lassait plus que tout le reste. Il n'était pas encore entrer à l'école de magie qu'il savait déjà que son père était un beau parleur et que la théorie était plus simple pour lui que la pratique. On ne le voyait que très rarement une baguette à la main et il passait sa vie à parcourir la planète pour faire des conférence sur les insectes ravageurs, affichant son doctorat et ses nombreuses autres formations à tout autre scientifique intéressé ou non. La jolie madame Coleman, elle, tenait sa petite boutique de bijoux magiques sur le chemin de traverse. Cette femme toujours souriante, rendait son fils heureux, sans pour autant comprendre réellement ce qu'il se passait en lui.
Wyatt était une jeune garçon très intelligent. Parfois trop intelligent. Trop, parce qu'il s'ennuyait vite. Les jeux des enfants de son âge ne l'avaient jamais intéressé. Il s'était tôt mis à la lecture. Puis aux jeux de construction, à la musique,au sport, à la politique. Il s'était toujours intéressé à tout ce qui lui tombait sous la main. A sept ans, il avait déjà fait preuve de ses capacités magiques. Ce fut une grande joie pour Alice qui fêta l’événement avec un gâteau, mais Henry n'eut pas le même entrain. Il ne cessait de répéter à son fils qu'avec ou sans pouvoirs, il devrait se battre pour avoir ce qu'il voulait s'il voulait devenir aussi respecté que son papa. C'est à cette période que Wyatt apprit à acquiescer à ce que disait son père pour avoir la paix même s'il n'en pensait pas un mot. Finir sa vie partagée entre un laboratoire de recherche et un amphithéâtre pour faire des conférence ? Sérieusement ? Avoir un regard passionné chaque fois qu'on croise un hyménoptère ou un lépidoptère ? Certaine pas. Il y avait d'autres choses beaucoup plus intéressante dans la vie que les paillons… Comme par exemple, tout ce qui touchait le monde magique.
Alors quand Wyatt reçut sa lettre pour Poudlard, il se fit une seule et unique promesse : ne jamais finir comme son père. Il était hors de question qu'il finisse sa vie ainsi, débile et fier de l'être. Il avait honte de son père. Un homme qui avait hérité de pouvoirs magiques alors qu'il avait un parent moldu devrait passer son temps à remercier chaque jour de pouvoir utiliser une baguette. Mais non, il préférait la ranger et faire sa vie comme n'importe quel moldu. Une honte. Pour Wyatt, ses parents ne se rendaient pas compte de la chance qu'ils avaient et ils n'avaient pas utilisé toutes leurs capacités pour accéder à des postes plus prestigieux que ce qu'ils pouvaient faire aujourd'hui. Il était cependant fier de sa mère qui faisait ce qu'elle aimait, c'était le principal. Et elle, au moins, elle ne reniait pas ses origines magiques. Alors quand le jeune Coleman arriva à Poudlard, ce ne fut pas vraiment une surprise pour lui d'être à Serpentard. Il avait étudié en large, en long et en travers toute l'historie de Poudlard et chaque maison en particuliers. Il savait depuis longtemps qu'il serait à Serpentard. Cela dit, ce fut une immense déception pour son père. Même s'il ne s'attachait pas au monde magique, dans son esprit tous les problèmes liés à ce monde venaient de la maison Serpentard.
Les liens entre le père et le fils, déjà peu développés, ne firent qu'empirer au fur et à mesure des années. Le père ne rentrait à la maison que lorsque le fils n'était pas là. Mais cela toucha peu Wyatt à vrai dire. Depuis son arrivée au château, il travaillait dur. Il était hors de question pour lui de rater quoi que ce soit. Enfant gâté, il avait apprit à ne s'occuper que de lui-même et à vrai dire, il le fit à la perfection. Rapidement, il se montra moqueur et arrogant. Il réussissait toujours à mettre en avant ce qu'il savait faire, à se placer au-dessus des autres. N'étant pas né dans une faille de sang-pur, ses idéologies sur le sang n'étaient pas placées. Il s'en moquait bien et il comptait prouver au monde entier qu'on pouvait s'en sortir sans avoir du sang pur dans les veines. Pendant ses premières années, il s'attachait à détester chaque élèves des autres maisons, les trouvant naïfs, parfois débiles. Mais en grandissant, il apprit aussi à avoir l'esprit ouvert, sûrement une des seules qualités qu'il aura récupéré de sa mère. Il commença à moins s'attarder sur les différences entre les maisons et à s'attacher plus aux différences d'intelligence. Il faut dire que pour lui c'était impensable d'avoir un cerveau et de ne pas s'en servir. Et tant qu'il fut jeune, il utilisa le sien pour avoir tout ce qu'il voulait, quand il le voulait. Rusé, calculateur, peu importait la façon de l'obtenir, il obtenait toujours ce qu'il souhaitait.
Durant sa cinquième année, on l'obligea à se mettre en équipe avec trois autres garçons de trois autres maisons en classe de Soins aux Créatures Magiques. En quelques minutes, les garçons se rendirent compte que les capacités de chacun étaient utiles afin de gagner. A quatre, ils étaient invincibles. A quatre, ils pouvaient tout obtenir. A quatre, rien ne leur résistait. Wyatt trouva en eux les frères qu'il n'avait jamais eu. Les frères qui avaient un minimum d'ambition et qui ne se reposaient pas sur leurs acquis, qui cherchaient toujours à aller plus loin, comme lui. Parfois, entre lui et Matt, c'était tendu. Disons que leurs deux forts caractères cherchaient en permanence à aller de l'avant et à dominer les autres. Mais depuis tout ce temps, ils avaient fini par trouver un équilibre. Jordan est le plus réfléchi de la bande. Il aime échafauder des plans tous plus tirés par les cheveux les uns que les autres mais aucun n'a jamais raté. Enfin en théorie. Heureusement que la plupart du temps, Matt est là pour trouver un plan B. Eden est toujours le premier à se jeter dans les emmerdes. Il n'a peur de rien et tant que ses amis suivent, il est prêt à tout pour s'amuser. Et Wyatt, quand à lui, est le filet de sauvetage. Calculateur, il réfléchit à toutes les possibilités de conséquences et essaie de ramasser les pots cassés. Il est toujours le premier à se jeter dans la gueule du loup quand il s'agit de trouver un coupable, préférant prendre pour tout le reste de la bande. Il aime agir ainsi, en vrai chez de meute.
Wyatt était certain d'aller loin avec ses amis. Inséparables, il n'imaginait plus son quotidien sans eux. Il savait que s'il les perdait, il s’ennuierait à mourir. Fréquenter des personnes utilisant leur cervelle était tout ce qu'il voulait. Ambitieux, il cherchait à aller de l'avant. Cependant, depuis plusieurs mois, les vrais problèmes ont commencé. Il faut dire que les quatre jeunes hommes ayant en leur possession la carte du maraudeur faisaient un alibi parfait pour les meurtres en série qui faisaient ravages dans les parages. Mais Wyatt n'étant pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, il était évident qu'il allait répliquer. Et aujourd'hui, il est bien décidé à prendre sa revanche. Il est hors de question de laisser les autres les accuser sans preuves et il est prêt à se venger. Les maraudeurs n'ont pas dit leur dernier mot.
De l'autre coté de l'écran
♪ Pseudo/prénom Nao
♪ âge 23 ans
♪ Présence 7/7
♪ tu nous as trouvés comment ? Fonda, DC
♪ Une dose d'amour ? Jamais è_é
©louha