Salut à toi, je m'appelle Kristine Rowle mais tout le monde me surnomme Krissy et je suis né(e) le 13 mai 2004, à Édimbourg. Si tu sais compter j'ai donc 16 ans . Aujourd'hui, je travaille en tant que sixième année à Gryffondor. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis hétérosexuelle et je suis actuellement célibataire . Oh, et surtout n'oublie pas que je suis sang-mêlée .

Ton Epouvantar c'est ? Moi en train de me noyer
Le miroir du Rised, il te monte quoi ? Ma mère toujours en vie
Ton patronus c'est ? Une loutre
Et ta baguette, elle est comment ? En bois d'orme, avec en son cœur une plume de phénix. Longue de trente centimètre, elle est plutôt souple et convient très bien pour les duels et sortilèges d'attaques. Elle convient moins bien pour la métamorphose, quoi qu'elle reste dans une bonne moyenne. Il m'a fallu deux ans pour arriver à la maîtriser correctement et une autre année pour avoir sa totale confiance, mon histoire et mes états émotionnels m'empêchant d'être en harmonie immédiat avec celle-ci.

Je dirais que ce que les gens perçoivent en premier chez moi est mon côté un peu trop relâché et détendu. En effet, il se trouve que je ne suis pas en général du genre à me laisser emporter pour une broutille, mais il serait imprudent de penser que je ne sais pas me défendre lorsque quelqu’un m’attaque personnellement ou s’en prend à une personne que j’aime. Je n’ai beau mesurer qu’à peine un mètre cinquante et être myope comme trois taupes et quart, j’ai quand même pas mal de ressources. Je préfère toutefois répliquer par une belle réplique bien plutôt que de me mettre à gueuler comme une folle. Donc si les gens autour vous voient le rouge aux joues avec la fumée qui sort par tous les trous, je me tiendrai face à vous avec ce visage calme et cette moue moqueuse. Toutefois, si vous sortez votre baguette, attendez-vous à ce que je fasse de même, et il paraît que j’ai de TRÈS bons réflexes…

Comme dit plus haut, je n’hésite pas à défendre ceux que j’aime. Je me plierais en quatre pour eux… et arriver à les faire chier au maximum! Je suis en effet très ’’taquineuse’’, voir parfois un peu trop, mais il s’agit pour moi d’une manière d’exprimer mon affection envers mes amis et ma famille. Je ne suis pas une fille très tactile, mais tout de même affectueuse. Je suis aussi extrêmement ouverte et facile d’approche. Si vous aimez faire la fête, une soirée ou autre, n’hésitez pas à m’appeler! J’aime m’amuser! J’aurai peut-être aussi quelques petits extras gratuits ou peu coûteux provenant du monde moldu si vous le souhaitez, tant que la provenance reste secrète, bien entendu! Je reste aussi très sensible aux malheurs des autres. Même si mes manières sont peu délicates, il m’arrive parfois de vouloir en faire trop. Je n’attends souvent rien en retour, ni gratitude, ni récompense, ni service à rendre. Seulement un peu de respect et un salut de temps en temps au détour d’un couloir. Je ne suis par contre pas dupe et il est difficile de me mentir, même si vous vous prétendez le meilleur menteur du monde, vous n’arriverez pas à me berner facilement.

Malgré mon ouverture, je déteste me confier et parler de mes démons. Tout ce qui peu chasser l’image d’une jeune femme toujours bonne humeur me perturbe et si vous insistez trop, vous risquez de ne plus me croiser durant des jours pour me voir subitement réapparaître comme si de rien n’était. Si je pleure, je le fait en privé et j’ai horreur que quelqu’un me surprenne durant un moment de faiblesse.

Je ne suis pas quelqu’un qui aime se faire dire quoi faire. Il m’arrive souvent de m’attirer des problèmes à cause d’une escapade nocturne avec des amis, notamment lorsque je les attirais dans une exploration du château où j’ai découvert quelques passages secrets, m’émerveillant de plus en plus à chacune de mes découvertes. Je suis du genre à parfois me lancer tête baissée dans une situation quelconque sans penser aux conséquences. Il m’arrive d’être un peu trop téméraire, que ce soit dans mes paroles ou dans mes gestes si je considère que c’est important ou si quelque chose me concernant est en péril. Il m’est donc déjà arrivé de répondre à un professeur ou de débattre avec lui. Si ceux-ci sont parfois désemparés ou découragés de mon attitude, ils ne peuvent rien dire sur mes notes très acceptables même si je ne suis pas première de classe. Je suis loin d’être une personne studieuse, mais je fais quand même un minimum d’effort dans mes travaux même si à la longue je fini par m’ennuyer et les laisser de côté pour faire autre chose.
 

Je m’appelle  Kristine Amanda Rowle. J’ai seize ans et je suis née le 13 mai 2004 à l’hôpital général d’Édimbourg. Je suis une sang-mêlée, ce qui explique le fait que je sois née dans un hôpital moldu. Mon sang moldu me vient de la famille de mon père, Christopher, qui tient sa petite clinique vétérinaire à domicile. Toutefois, il ne faut pas penser que mon côté paternel n’était pas déjà familier avec le monde magique. En effet, mon oncle Josh est un né-moldu. C’est d’ailleurs comme cela que mes parents se sont rencontrés. Ma mère, Amanda, était une des dernières descendantes d’une très ancienne famille de sang pur. Très ouverte, celle-ci ne prônait pas la pureté du sang. Sorcière puissante et très respectée au ministère, ma mère était une des meilleures aurores de son département avant de prendre une semi retraite après avoir appris qu’elle était enceinte.

Fille unique, j’ai vécu une enfance heureuse auprès des deux côtés de la famille. Navigant entre les deux mondes, je n’ai cependant jamais eu ce sentiment d’être déchirée entre eux.  Il est certain que ma mère tenait tout de même à me garder un peu loin du monde magique durant une partie de mon enfance. Celle-ci disait que je n’étais pas encore prête pour aller plus loin que le Chaudron Baveur ou encore le petit magasin d’herbes et de plantes de mes grands-parents maternels bien caché aux yeux des moldus dans une ruelle sordide de Londres.  Même lorsque mes pouvoirs se sont manifestés lors de mon huitième anniversaire, ma mère refusait catégoriquement de m’emmener avec elle. Je piquais souvent des crises à ce sujet, ce qui m’attirait les regards noirs de mes parents et de gentilles moqueries  de la part des autres.

Avec un peu de recul, vu la réputation de la famille de ma mère, je me dis que ma famille a voulu me préserver des remarques déplaisantes et regards dédaigneux des sorciers de noble naissance. Contrairement à ce que l’on pourrait nous faire croire, les querelles au sujet de la pureté du sang sont encore vivaces et les traces de la guerre sont belle et bien visibles sur le visage de certains vétérans…

Hormis de petites ‘’crisettes’’ de temps en temps et la fâcheuse habitude d’abuser de mes récents pouvoirs, il paraît que je n’étais pas une enfant très difficile. J’ai toujours été hyper curieuse, parfois trop même, et très détachée des événements malgré une grande perspicacité. Un peu beaucoup dans la lune aussi. Drôle de mélange, non ? Je trouve aussi… Bref, c’est à peu près tout ce que je peux dire sur mon enfance qui n’a pas été marquée par un événement particulièrement tragique, hormis le fait que j’ai fait exploser mon petit lapin PanPan sans le faire exprès, mais ça c’est une autre histoire...

J’ai l’impression que ma vie à vraiment commencé un beau jour du mois de juillet 2015, l’année de mes 11 ans. J’étais en train de manger mes céréales quand le hibou de la famille est entré par la fenêtre. S’arrêtant d’abord devant ma mère, celui-ci s’est alors approché de moi avec deux lettres. L’une venait de ma grand-mère. Quant à la deuxième… je me souviens de ce que j’ai ressenti en voyant l’élégant sceau de Poudlard décorant le dos de l’enveloppe. J’ai dû la fixer durant plusieurs secondes avant de réalisé ce que cela voulait dire. Je me souviens aussi du petit sourire espiègle et surtout nostalgique de ma mère ainsi que le regard plein de fierté de mon père. Inutile de dire que mon cœur a arrêté de battre lorsque j’ai lu les quelques mots que contenaient la lettre. Cela voulait dire que maintenant j’allais enfin découvrir ce qui se cachait dans le monde magique et que j’étais maintenant prête à le découvrir… Je ne relaterais pas ici ma première visite au Chemin de Traverse, car tous ceux qui y sont passés pour la première fois connaissaient très bien ce sentiment. En somme, j’étais heureuse, anxieuse et terriblement excitée…

Toutefois, ce n’étais rien comparé à ce qui m’attendait par la suite. Vous souvenez-vous du moment où vous êtes sortis du Poudlard Express, vêtus de vos robes neuves et de vos cravates noires alors que vous étiez sans maison ? Ce moment où l’on vous fait monter à bord des barques pour la traditionnelle traversée du lac des premières années sous les étoiles ? Moi aussi. À partir de ce moment-là, les différentes scènes ont défilées devant moi comme dans un rêve jusqu’à temps que l’on nous mène à la grande salle pour la répartition. C’est lorsque l’on m’a demandé d’avancer pour me présenter au Choixpeau que la réalité m’a rattrapé. Assise sur le tabouret, mes mains moites serrant ma jupe, j’ignore pendant combien de temps le Choixpeau est resté sur ma tête avant de déclarer haut et fort qu’il m’envoyait dans la maison la plus noble : Gryffondor. La maison de ma mère. J’étais en extase…

Les deux premières années se sont plutôt bien passées, malgré qu'il m’ait fallu un moment avant de m'adapter complètement à ma nouvelle vie de sorcière. Le plus difficile a été de ne plus pouvoir faire ce que je souhaitais de mes pouvoirs. Ce qui est dommage lorsque l'on commence à utiliser une baguette, c'est que nos anciens talents, bien qu'instables et imprévisibles quoi que très pratiques, deviennent inaccessibles et la magie devient très difficile à pratiquer pour certains. C'est ce qui est arrivé pour moi ou je multipliais les catastrophes. Également, je n'ai pas eu beaucoup d'amis durant cette période, car j'étais plutôt timide et réservée. Je manquais aussi de confiance en moi, ce qui a beaucoup déteint sur mes relations avec mes camarades. J'avais cependant quelques amis chers qui aimaient mon côté plutôt discret et curieux. C'est durant la deuxième moitié de ma deuxième année et le début de ma troisième que je me suis enfin un peu plus ouverte aux autres, me découvrant une passion sans vergogne pour le Quidditch ou encore en me joignant dans différents clubs de l'école. Je commençais à explorer tranquillement l'école, découvrant ici et là quelques passages secret ainsi que des salles étonnantes, mais d'abord sans enfreindre le règlement.

Pendant ce temps, chez moi, ma mère avait repris ses activités d'aurore au service du Ministère de la Magie. Je ne la voyais d'ailleurs presque plus beaucoup durant les vacances. Ses lettres étaient vagues et rares. Je me suis donc beaucoup éloigné d'elle, me rapprochant davantage de mon père. C'est quelques semaines avant les examens de fin d'année, alors que les troisièmes assistaient à leur dernier cours de métamorphose, que le directeur est venu en personne me chercher pour m'emmener à son bureau. En entrant, la première chose que j'ai remarquée était la présence de mes grands-parents... en pleurs. Mes souvenirs de cette rencontre restent flous, mais je me souviens de ma grand-mère me serrant dans ses bras et de mon grand-père restant en retrait, le regard abattu et les épaules lâches. Ils n'ont pas eu à prononcer une parole pour que je comprenne. Je savais que je ne reverrais plus jamais ma mère...

Lorsque je suis revenue à l'école en septembre, je crois que personne ne s'attendait à ce que je change autant. Je pense plutôt que les professeurs et mes amis croyaient que j'allais être abattue et sombre. Au contraire, si j'avais pleuré tout l'été et que j'étais encore fragile, la mort de ma mère m'avait poussé à sortir complètement de ma coquille et profiter de la vie.  J'avoue par contre avoir changé d'abord et avant tout pour oublier ma douleur. J'ai d'abord changé de style. Si celui-ci était plus classique, mes vêtements étaient maintenant d'un style plus recherché et actuel, mais surtout plus excentrique. C'est aussi cette même année que j'ai décidé d'adopter les dreadloks. Ensuite, on vit un plus grand changement dans mon attitude. Je devenais plus affirmée, n'hésitais pas à répondre en parole et en geste aux langues de vipères de Serpentard, multipliait les bêtises et escapades nocturnes, commençais à toucher à des produits dits ''illicites dans le monde moldu sans toutefois exagérer... Bref, je devenais celle que je suis aujourd'hui. Et cela a continué tout au long de ma quatrième et de ma cinquième année.

Je commençais aussi à m'intéresser et à intéresser quelques garçons, sans vraiment m'en approcher assez pour m'en faire des petits amis. J'avoue ne jamais avoir laissé sa chance à quelqu'un, mon côté chieuse et indépendante ne voulant pas me laisser m'attendrir ou même dire merci pour le moindre compliment venant de la gente masculine. Je n'ai jamais été trop tactile non plus. J'ai remarqué que la mort de ma mère avait fait en sorte que j'ai maintenant du mal à m'attacher, sans compter que je n'ai jamais été très tactile.

J'entre maintenant en sixième année. Toutefois, avec les récents événements, soit les meurtres et tout, j'avoue que celle-ci s'avère étrange et mouvementée. J'ignore ce qui m'attend au détour d'un couloir et j'avoue être très inquiète...

       

♪ Pseudo/prénom Lunia
       ♪ Âge 21
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       ♪ Tu nous as trouvés comment ? Par hasard, en passant de forum en forum. Il y a longtemps que je n’ai pas fait de rp et je me suis dit que ce serait bien de recommencer pour m’occuper.
       ♪ Une dose d'amour ? Z’vous donne toute de gwôôôôs câwlins zi vous z’êtes zentils z’avec’ mwa :3 Zinon zé d’gwosse denwts qui mowrdent twé fowt è___é